Exode 34. Écoute le Vrai Médiateur.
L’idolâtrie n’est plus un sujet à la mode. Tim Keller a parlé des « idoles du cœur », et le CREC nous offre des perspectives sur les idoles modernes.
L’idolâtrie n’est plus un sujet à la mode. Tim Keller a parlé des « idoles du cœur », et le CREC nous offre des perspectives sur les idoles modernes.
Abram, un « père exalté » sans enfant, portait un nom qui semblait en contradiction avec sa réalité. Pourtant, Dieu a transformé son histoire, prouvant que Ses promesses s’accomplissent malgré les circonstances. Ce récit nous rappelle que Dieu reste fidèle, même quand tout semble impossible. 1. Le poids du nom d’Abram : un père sans enfant Imaginez-vous porter un nom qui signifie « père exalté » sans avoir d’enfant. C’était la réalité d’Abram pendant de nombreuses années. Le poids…
Aujourd’hui, nous allons explorer un thème central dans l’Écriture : la chute répétée de l’humanité face à Dieu, en particulier à travers le récit du veau d’or dans Exode 32.
Ce passage résonne profondément avec la chute dans le jardin d’Éden, nous montrant un modèle récurrent de désobéissance humaine suivi par une intercession divine.
Nous verrons également comment ce schéma se reproduit, non seulement dans l’Ancien Testament, mais aussi dans notre propre vie, et comment Christ, notre intercesseur ultime, répond à nos défaillances.
En ce jour, je veux vous rappeler une vérité fondamentale et précieuse : vous n’êtes pas n’importe qui.
Vous êtes des enfants du Roi. Christ vous a revêtus des habits des noces, vous enveloppant de Sa justice et de Sa gloire. Le Roi éternel, le Créateur de l’univers, vous considère à Sa table, vous accueillant comme Ses bien-aimés.
Saisissez la splendeur de cette réalité. Vous êtes invités à participer à un festin céleste, non pas en tant qu’étrangers, mais en tant que membres de la famille royale. Vous êtes des ambassadeurs du ciel sur terre, appelés à manifester la sainteté et la justice de notre Seigneur dans ce monde.
En ces temps où l’obscurité semble souvent l’emporter, une question revient sans cesse à l’esprit : la lumière de Dieu va-t-elle s’éteindre ? Face aux défis et aux épreuves, cette interrogation résonne dans le cœur de nombreux croyants que j’observe autour de moi. Aujourd’hui, nous plongerons dans les Écritures pour découvrir comment Dieu assure la continuité de Sa lumière, qu’importe les temps, les épreuves, et les changements, le chandelier du Tabernacle en est l’exemple parfait.
Dans Jean 2.1-5, le récit du mariage à Cana révèle l’implication de Jésus dans les événements de la vie quotidienne, illustrant son amour pour l’institution du mariage.
Dans le récit vibrant de Matthieu 7.13-14, nous sommes confrontés à une métaphore puissante qui distingue deux chemins de vie : l’un large et facile, l’autre étroit et difficile. Le chemin étroit, nous dit-on, mène à la vie, mais curieusement, peu choisissent de l’emprunter.
Continuant notre exploration en ce temps qui nous conduit vers Pâques, nous nous penchons aujourd’hui sur une question qui touche à l’expérience humaine ultime : la mort. La question 42 nous interroge sur la raison pour laquelle, même si le Christ est mort pour nous, nous devons nous aussi passer par la mort. Cette interrogation soulève une nuance importante dans notre compréhension de la mort à la lumière de la foi chrétienne.
Dans notre parcours vers Pâques, nous nous penchons sur les questions 37 à 45 du Catéchisme d’Heidelberg, qui explorent le thème de la crucifixion et de la résurrection de Jésus-Christ.
Chers frères et sœurs,
En cette période de l’année, où nous nous préparons à célébrer la résurrection de notre Seigneur à Pâques …